Chuck Pagano revient de loin. Diagnostiqué d’une leucémie en début de saison, le coach a manqué la majeure partie de la saison. L’intérim étant assuré par le coordinateur offensif des Colts, Bruce Arians.
Durant tout le temps des soins qu’il a reçu, le coach n’a pas manqué de soutiens de la part de ses joueurs, de la ville, des fans , mais aussi des autres franchises de la ligue.
Aujourd’hui a été publié une lettre que Pagano a écrite à l’intention de tout ceux qui ont témoignés leur soutient au coach :
« Quand j’ai accepté le boulot de head coach pour les Colts d’Indianapolis en janvier dernier, c’était un rêve qui devenait réalité pour moi et ma famille.
Je savais que j’allais rencontrer une organisation avec un super propriétaire et une grande tradition de victoire. Je savais qu’Indy avait de grands fans, mais j’ai sans doute sous estimé à quel point ils étaient grands. Etant nouveau dans cette communauté, je ne m’attendais surtout pas à recevoir autant de soutiens de la part des fans des Colts à travers l’état et le pays. L’amour et le support dont vous avez fait preuve auprès de ma famille et moi me donne un sentiment inestimable de confort et de paix. Chaque lettre, récit de réussite, prière et actes de gentillesse m’ont rendu ce processus beaucoup plus facile. J’ai aussi eu la chance d’avoir les meilleurs médecins et infirmières du pays, ici même dans l’Indiana, pour s’occuper de moi.
Je suis fier d’être le coach principal de vos Colts. Je ressent une grande fierté de savoir que l’équipe a persévéré cette saison grâce au même support dont vous avez fait preuve pour ma famille et moi. Vous avez eu un énorme impact sur ma guérison et sur notre saison, et je ferais tout ce que je peux pour accomplir de grandes choses ici pendant un long, très long moment.
De la part de toute la famille Pagano, merci de m’avoir aidé à guérir, et d’avoir montré à notre pays que nous avons les meilleurs fans du monde entier; fans qui montrent un amour, pour leurs coachs et leurs joueurs, qui dépasse les limites du terrain.
Sincèrement,
Chuck Pagano«
A quelques heures d’affronter les Ravens, on ne saurait être ému par cette lettre.