Plus personne ne respecte Eli Manning, mais les Giants ne pensent toujours pas à changer

Quand même les Bills commencent à se moquer de vous, il y a peut-être un problème.

Il est toujours là. Inamovible. Eli Manning, quarterback des New York Giants. Pour le meilleur et pour le pire. Surtout pour les moqueries adverses, désormais.

La stratégie des Bills dimanche soir ?

« Nous savions que nous devions essayer de les forcer à lancer plus. Ils sont une attaque totalement différente quand ils doivent lancer le ballon », a expliqué Micah Hyde à NJ.com.

Manning a lancé 45 fois le cuir dimanche. 26 passes ont trouvé la cible, pour 250 yards et un touchdown. Deux passes ont été interceptées. Il n’a pas terriblement mal joué. Mais il n’est clairement plus un atout. Dans le premier quart, il n’a tenté que quatre passes. Aucune n’a été complétée.

Les Giants se font battre facilement. Manning est un vétéran entouré d’un effectif vidé de la plupart de ses talents. Une reconstruction avec un vétéran. Cela n’a pas vraiment de sens. Le temps de faire jouer Daniel Jones ? Non.

Pat Shurmur a expliqué à la presse après le match que faire débuter le rookie n’est pas « une conversation pour maintenant. »

Les Bills rois de New York

Alors les autres rigolent bien. Interrogé en conférence de presse sur le fait que les Giants et Jets auraient pu le sélectionner lors de la Draft, Josh Allen a rappelé que Buffalo se trouve aussi dans l’état de New York. Et clairement, les Bills semblent les mieux gérés de l’état à l’heure actuelle. Ils viennent de battre coup sur coup les Jets et Giants.

Évidemment, Manning n’est pas seul dans le naufrage. La défense est à la peine. Et Janoris Jenkins n’a pas eu peur de le dire à NJ.com.

« Quand le quarterback a du temps et qu’il n’y a pas de pression, je ne peux pas couvrir mon joueur pendant 10 secondes. […] Sérieusement, on doit jouer au football. »

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