Coup d’envoi dans la nuit de dimanche à lundi à 02h30
New England (7-2) – Seattle Seahawks (6-2-1) : 24-31
Coup d’envoi dimanche à 22h
San Diego Chargers (4-6) – Miami Dolphins (5-4) : 24-31
Arizona Cardinals (4-4-1) – San Francisco 49ers (1-8) : 23-20
Pittsburgh Steelers (4-5) – Dallas Cowboys (8-1) : 30-35
Coup d’envoi dimanche à 19h
Carolina Panthers (3-6) – Kansas City Chiefs (7-2) : 17-20
Washington Redskins (5-3-1) – Minnesota Vikings (5-4) : 26-20
New Orleans Saints (4-5) – Denver Broncos (7-3) : 23-25
Philadelphia Eagles (5-4) – Atlanta Falcons (6-4) : 24-15
Les Eagles ont calmé l’attaque des Falcons, avant de faire la différence dans les dernières minutes. Bien porté par le jeu au sol et Ryan Mathews (19 courses, 109 yards, 2 TDs), Philadelphie a mené pendant tout le début de match, avant de voir Atlanta passer devant sur un touchdown de 76 yards signé Matt Ryan (18/33, 267 yards, 1 TD, 1 int) et Taylor Gabriel au début du dernier quart (13-15). Mais sans paniquer, les Eagles ont répondu deux séries plus tard, avec un touchdown de Mathews, converti à deux points (21-15). La défense a une ensuite stoppé deux fois les visiteurs, avant que Caleb Sturgis n’ajoute trois points de plus (24-15). Matt Ryan a même été intercepté sur sa dernière tentative.
Si Mathews a été excellent et que Carson Wentz (25/36, 231 yards), pas aidé par des receveurs maladroits, n’a pas fait d’erreur, c’est bien la défense de Philly qui décroche la palme.
Les Falcons ont été limités à 49 yards au sol, 303 longueurs au total, 2/11 sur 3e tentative et seulement 15 petits points. Très loin de leur rendement habituel. Julio Jones (10 rec, 135 yards) a gagné quasiment la moitié des yards de son équipe.
Tennessee Titans (5-5) – Green Bay Packers (4-5) : 47-25
Une humiliation pour la défense des Packers. Dès la première action offensive des Titans, DeMarco Murray (17 courses, 123 yards, 1 TD) a transpercé l’opposition pour un touchdown de 75 yards. Le ton était donné, puisque Tennessee a trouvé la end zone sur ses trois premières séries, pour mener 21-0 après un seul quart-temps. Murray a même lancé une passe pour Delanie Walker (9 rec, 124 yards, 1 TD) dans la end zone !
DeMarco Murray again…this time with a TD pass to TE Delanie Walker. #TITANUP #NFL #GBvsTEN pic.twitter.com/UsgGySE4OG
— Fantasy Sports Degens (@FantasyDegens) November 13, 2016
Aaron Rodgers a réagi par séquences, mais Marcus Mariota et ses hommes ont toujours pu répondre, quasiment à leur guise. Lorsque Green Bay s’est rapproché à 22-35 dans le troisième quart, Mariota a trouvé Tajae Sharpe (3 rec, 68 yards, 1 TD) sur la série suivante pour définitivement tuer la partie.
Le quarterback des Titans a terminé la rencontre avec une fiche de belle facture : 19/26, 295 yards, 4 touchdowns. Du côté de Green Bay, on s’enfonce doucement dans la crise avec une nouvelle prestation décevante en défense et au sol.
New York Jets (3-7) – Los Angeles Rams (4-5) : 6-9
Sans marquer le moindre touchdown, les Rams ont encore réussi à gagner. Dans un match déprimant sur le plan offensif, la partie a pris fin lorsque Bryce Petty (19/32, 163 yards, 1 TD, 1 int) a été intercepté à deux minutes de la fin alors qu’il tentait de mener le drive de la victoire. Los Angeles n’a alors plus eu qu’à poser le genou au sol.
Cette rencontre avait pourtant démarré sur des bases intéressantes, avec un field goal des Rams sur le premier drive, puis un touchdown vert au début du second quart sur une action pleine d’imagination de Brandon Marshall, auteur d’une passe latérale pour Bilal Powell, lancé vers la end zone.
.@b_petty14 🏈 @BMarshall 🏈 @bilalpowell29 = 6. #LAvsNYJ https://t.co/JUvpjJWrqr
— New York Jets (@nyjets) November 13, 2016
Malheureusement, l’extra point est manqué (6-3). Le festival de punts (huit de suite !) est alors lancé jusqu’à la fin du troisième quart, lorsque LA égalisé (6-6). À 6mn52 du terme, Greg Zuerlein ajoute trois points (6-9) pour mettre son équipe devant, puisque Case Keenum (17/30, 165 yards) et Todd Gurley (21 courses, 64 yards) sont toujours incapables de trouver la end zone. Les deux autres drives des Jets ne donnent rien.
Première ratée pour Petty, qui avait pourtant une bonne occasion de se montrer face à une équipe toujours aussi affligeante sur le plan offensif.
Tampa Bay Buccaneers (4-5) – Chicago Bears (2-7) : 36-10
Deux interceptions. Deux fumbles perdus. Impossible de gagner en étant si maladroits, et les Bears ont donc logiquement perdu. Rapidement menés 17-3, notamment à cause d’une interception retournée pour un touchdown et d’un fumble perdu dans leur propre moitié de terrain, les joueurs de Chicago ont entretenu l’espoir en réduisant l’écart sur une passe avé maria juste avant la pause (17-10).
Mais Jameis Winston a mené son équipe à un touchdown dès le retour de la pause (24-10). Et son entente avec Mike Evans (6 rec, 66 yards) a martyrisé la défense adverse. Jay Culter (16/30, 182 yards, 1 TD, 2 int) a continué d’enfoncer son équipe en concédant un safety sur un fumble commis dans sa end zone. C’est Doug Martin (16 courses, 33 yards, 1 TD), par forcément flamboyant pour son retour de blessure, qui a bouclé l’affaire avec un touchdown (36-10).
Jacksonville Jaguars (2-7) – Houston Texans (6-3) : 21-24
Ne vous fiez pas au score, Blake Bortles (32/49, 265 yards, 2 TDs, 1 int) a encore gonflé ses stats en fin de partie, comme il aime tant le faire. Car dans les faits, Jacksonville n’a jamais vraiment inquiété Houston. Kareem Jackson a mis les Texans devant en interceptant Bortles et en retournant le ballon pour un touchdown dès le premier drive du match (0-7). Et si le quarterback des Jags’ a bien réagi en trouvant Julius Thomas pour égaliser dans la foulée (7-7), Brock Osweiler (14/24, 99 yards, 2 TDs) a répondu lui aussi sur le drive suivant, en trouvant Ryan Griffin dans la end zone pour remettre son équipe devant (7-14) juste avant la fin du premier quart.
Jacksonville a alors calé, en ne marquant plus que deux field goals pendant que Stephen Anderson et un coup de pied de Nick Novak creusaient l’écart (13-24). Bortles a alors trouvé Allen Robinson (9 rec, 107 yards) pour réduire l’écart à 2mn25 de la fin, avec la conversion à deux points en prime. Mais Houston a ensuite mangé le reste du chrono.
L’attaque des Texans n’a pas été bien plus brillante que celle de son adversaire du jour, mais Houston a au moins pu compter sur sa défense pour faire la différence.