Lamar Jackson, l’affaire du siècle : meilleur 1er tour du XXIe siècle !

Le premier tour de draft parfait n’existe pas, sauf sur Touchdown Actu ! Le meilleur choix de draft position par position au premier tour, c’est ici.

Pour faire simple, l’idée était de prendre, pour chaque choix (1, 2, 3…), la meilleure sélection qui a eu lieu depuis 2000. Cela donne un tableau de haut vol, dont Lamar Jackson semble être la plus belle affaire. Difficile de faire mieux qu’un 32e choix pour un double MVP de la saison régulière.

1 – Andrew Luck, 2012, QB, Stanford – Colts

Choix du cœur pour ce premier choix. Andrew Luck est un joueur au potentiel démentiel dont la carrière a été gâchée par une franchise dysfonctionnelle. Sans protection, sans un énorme casting autour, il a porté sa franchise jusqu’en playoffs, avec un des matchs les plus mémorables du siècle.

Aussi intelligent que doué, Andrew Luck est un potentiel Hall of Famer qui a pris sa retraite trop tôt.

Le top 25, c’est ici.

2 – Calvin Johnson, 2007, WR, Georgia Tech – Lions

Choisi après l’historique bust Jamarcus Russell, Calvin Johnson est vite devenu une référence en NFL. S’il n’a jamais pu marquer de son empreinte les playoffs en jouant pour les Lions, il a cumulé 6 Pro Bowls et 4 sélections All Pro. Tout ça en prenant sa retraite à 30 ans.

Auteur de 11 619 yards en carrière, il a fait preuve d’une domination presque inédite dans l’histoire de la NFL. Il a été le meilleur de sa génération et chaque spectateur qui l’a vu jouer se rappelle a quel point il pouvait être impressionnant.

Mention honorable : Julius Peppers, Ndamukong Suh, Von Miller, Saquon Barkley

3 – Joe Thomas, 2007, OT, Wisconsin – Browns

Même draft, même trajectoire. Individuellement, Joe Thomas a été le meilleur tackle de sa génération, comme l’attestent ses 8 sélections All Pro et ses 10 Pro Bowls. Mais en jouant aux Browns il n’a jamais pu transformer cela en performance mémorable en playoffs.

Comme pour Johnson, il gagne facilement sa place tant sa domination a été monstrueuse.

Mention honorable : Larry Fitzgerald, Andre Johnson, Will Anderson

4 – Lane Johnson, 2013, OT, Oklahoma – Eagles

La draft 2013 est une cuvée très riche, mais le poste de tackle a été particulièrement bien fourni. Lane Johnson représente depuis plus d’une décennie une référence sur la droite de la ligne offensive des Eagles.

Quintuple All Pro, sextuple Pro Bowler, double champion NFL, il ne manque rien au joueur d’Oklahoma dans sa carrière. C’est d’ailleurs les récompenses collectives qui lui permettent de coiffer sur le poteau un autre grand tackle, Trent Williams.

Mention honorable : Trent Williams, Philip Rivers, A.J. Green

5 – Ja’Marr Chase, 2021, WR, LSU – Bengals

Attention blasphème. SI le choix de LaDainian Tomlinson aurait fait du sens, Ja’marr Chase est déjà devenu en quelques années une référence au poste. Au point d’obtenir la symbolique triple couronne en 2024.

Pro Bowler chaque saison depuis sa sélection à la draft, Chase représente avec brio cette génération dorée de LSU, et il va continuer à construire sa légende saison après saison.

Mention honorable : Jalen Ramsey, Khalil Mack, LaDainian Tomlinson

6 – Richard Seymour, 2001, DL, Georgia – Patriots

Difficile de passer à côté de Richard Seymour, un des membres les plus emblématiques du premier triplé des Patriots. Membre de l’équipe type des années 2000, il est difficile de décrire l’impact que Seymour a pu avoir sur son équipe.

Loin d’être une machine à statistique, son influence dépasse la seule ligne de score. C’est un leader dont la présence rendait tous les joueurs autour meilleurs.

Mention honorable : Quenton Nelson, Julio Jones

7 – Josh Allen, 2018, QB, Wyoming – Bills

Le MVP de la saison 2025 était un pari énorme lors de sélection. C’est clairement une réussite. Aussi talentueux qu’il est massif, le plus Californien des enfants du Wyoming est le nouveau maître de l’AFC Est.

Auteur de 195 touchdowns à la passe et 65 au sol, il est devenu la double menace nouvelle génération, plus dans le style puissant d’un Cam Newton. Il est le quarterback moderne par essence, et sa place dans le top 10 est plus que justifiée.

Mention honorable : Mike Evans, Adrian Peterson

8 – Christian McCaffrey, 2017, RB, Stanford – Panthers

Il existe des performances statistiques qui illustrent parfois la domination d’un joueur. En 2019, Christian McCaffrey a réussi plus de 1 000 yards au sol ET dans les airs, preuve de sa polyvalence. Depuis son arrivée dans la ligue, « CMC » est tout simplement l’arme létale par excellence.

Malheureusement pour lui, les blessures ont freiné sa carrière à de nombreuses reprises, et ses genoux semblent proche de la fin. Malgré tout, il restera un joueur qui a porté une franchise moyenne (Panthers) avant de bonifier une franchise excellente (49ers).

Mention honorable : Roquan Smith, Plaxico Burress

9 – Luke Kuechly, 2012, LB, Boston College – Panthers

Et de deux pour les Panthers. Luke Kuechly a eu une carrière courte, puisqu’il a pris sa retraite à 28 ans. Mais il a eu le temps de devenir le plus grand linebacker de sa génération avec Bobby Wagner. Rookie de l’année en 2012, joueur défensif de l’année en 2013, Kuechly a été All Pro durant sept saisons de suite.

Participant malheureux au Super Bowl, il est avec Cam Newton et Christian McCaffrey dans la liste des légendes des Panthers. Seul regret pour lui, l’absence d’une bague de champion. Il reste la preuve qu’un linebacker dans le top 10 n’est pas forcément un mauvais choix.

Mention honorable : Brian Urlacher, Patrick Surtain

10 – Patrick Mahomes, 2017, QB, Texas Tech – Chiefs

Que dire sur Patrick Mahomes qui n’a pas déjà été dit ? Depuis 2017, le quarterback est devenu un des plus grands joueurs de l’histoire. Deux titres de MVP, trois MVP du Super Bowl et trois titres, il a déjà un palmarès de joueur du Hall of Fame.

Ses deux lourdes défaites au Super Bowl font mal, mais cela n’enlève rien au talent du joueur. Il est devenu la figure de la ligue, et les supporters des Bears doivent toujours se demander comment ils ont pu prendre Mitch Trubisky à la place.

Mention honorable : Stephon Gilmore, Terrell Suggs

11 – J.J. Watt, 2011, EDGE, Wisconsin – Texans

Il existe deux J.J. Watt. Celui d’après 2016 est un joueur talentueux mais cassé par les blessures. Celui de 2012 à 2015 est le meilleur défenseur de l’histoire. Trois fois joueur défensif de l’année en quatre ans, il a dépassé deux fois la barrière symbolique des 20 sacks.

S’il n’a malheureusement jamais vraiment pu jouer le titre à Houston, il est à jamais une légende en NFL. Ce qui lui permet de coiffer sur le poteau un Patrick Willis ou un Ben Roethlisberger.

Mention honorable : Patrick Willis, DeMarcus Ware, Ben Roethlisberger

12 – Haloti Ngata , 2006, DT, Oregon – Ravens

Peut-être la position la plus homogène, avec de nombreux très beaux joueurs NFL. Haloti Ngata n’est pas un nom qui a survécu à l’oubli, mais il fait partie de cette génération dorée de defensive tackle des années 2000 et 2010.

De 2008 à 2012, il a été All pro chaque année. Champion NFL, il a juste eu le malheur de vivre dans l’ombre de Ray Lewis et Terrell Suggs. Il est temps de lui donner enfin un peu de la lumière.

Mention honorable : Micah Parsons, Odell Beckham Jr, Fletcher Cox, Marshawn Lynch, Jonathan Vilma

13 – Aaron Donald, 2014, DT, Pittsburgh – Rams

Trop petit, pas dans les cases physiques de la NFL, Aaron Donald devait échouer. Il est devenu un des plus grands défenseurs de l’histoire de son sport. Rookie de l’année, trois fois défenseur de l’année, 8 fois All Pro, champion NFL, il a tout gagné.

Capable de produire une saison à 20 sacks depuis l’intérieur de la ligne, il est si vous avez moins de 40 ans le meilleur défenseur que vous n’avez jamais vu. Une véritable légende qui a pris sa retraite en 2023 à 32 ans.

Mention honorable : Brandon Graham, Laremy Tunsil

14 – Darrelle Revis, 2007, CB, Pittsburgh – Jets

Bienvenue pour cette visite de la « Revis Island ». Rarement un cornerback a autant fait peur aux adversaires, au point de voir des franchises abandonner une moitié du terrain. Devenu membre du prestigieux Hall of Fame, il a fait bien plus qu’attendu à sa sortie de Pittsburgh.

Cornerback dominant, personnalité marquante, il a su dominer une position ingrate.

Mention honorable : Kyle Hamilton, Earl Thomas

15 – Jason Pierre-Paul, 2010, EDGE, South Florida – Giants

Historiquement, la 15e choix est peut-être le pire du siècle. La couronne revient donc par défaut à l’autre JPP, double champion NFL avec les Giants et les Buccaneers. Auteur d’une saison 2011 mémorable, il est retourné dans un certain anonymat ensuite.

C’est un très bon joueur avec une excellente longévité, mais ce n’est pas une star à proprement parler.

Mention honorable : Bruce Irvin, Albert Haynesworth

16 – Troy Polamalu, 2003, S, USC – Steelers

Encore un membre du Hall of Fame. Troy Polamalu n’est pas seulement un joueur légendaire, c’est un jeu physique et une chevelure qui ont fait de lui un des joueurs les plus reconnaissables de sa génération.

Joueur défensif de l’année, double champion, il est avec Ed Reed et Brian Dawkins l’incarnation même du safety dans les années 2000 et 2010. Aussi décisif en playoffs, il prouve que prendre un safety si haut n’est pas toujours une mauvaise idée.

Mention honorable : Zack Martin, Santana Moss

17 – Ceedee Lamb, 2020, WR, Oklahoma – Cowboys

Attendu dans le top 10, Ceedee Lamb a connu une légère chute ce qui lui a permis d’atterrir dans une équipe des Cowboys très complète offensivement. Après un an d’apprentissage, Lamb est devenu la star de cette attaque, un monstre de production statistique.

Depuis maintenant 2 ans, il porte à bout de bras une franchise en perte de vitesse. Il existe peu de receveurs qui, bien que seul et cible numéro 1 de la défense, peuvent faire des saisons All Pro. Lamb en fait parti.

Mention honorable : Dexter Lawrence, Steve Hutchinson

18 – Joe Flacco, 2004, QB, Pittsburgh – Ravens

Joe Flacco est-il « élite »? C’est la question qui a fait débat dans la ligue pensant plusieurs années. Un peu à l’image d’un Eli Manning, Flacco n’a jamais vraiment été un quarterback dominant en saison régulière.

Mais au début de l’année 2013, il a réussi une des campagnes de playoffs les plus mémorables de l’histoire. Onze touchdowns pour aucune interception, une victoire en prolongation contre les Broncos et un Super Bowl à couper le souffle (et l’électricité). Il a ramené une bague aux Ravens, et rien que cela justifie largement sa place ici.

Mention honorable : Maurkice Pouncey

19 – Shaun Alexander, 2000, RB, Alabama – Seahawks

Il est difficile de se rendre compte a quel point les running backs étaient des stars au même titre que les quarterbacks au début des années 2000. LaDainian Tomlinson, Priest Holmes, Marshall Faulk… et Shaun Alexander. Tous ces joueurs ont été des MVP en puissance.

En 2005, Shaun Alexander réussi 1 880 yards et 27 touchdowns, survolant la ligue. S’il ne gagnera pas la bague, il reste un joueur qui a fait rêver une franchise jusque là assez discrète dans l’histoire. Un choix payant d’une autre époque.

Mention honorable : Antonio Cromartie, Jeffery Simmons

20 – Frank Ragnow, 2018, C, Arkansas – Lions

Le poste de centre est rarement considéré comme une position « premium », et au premier tour les réussites sont diverses. Frank Ragnow est une exception, lui qui est devenu une fondation de cette belle équipe des Lions.

Triple All pro et quadruple Pro Bowler, Ragnow brille par sa constance et son intelligence de jeu. Si la ligne réussie aussi bien, c’est parce qu’il la dirige action après action et ajuste quand cela est nécessaire. Pour une fois, le poste de centre est à l’honneur !

Mention honorable : Garett Bolles, Tamba Hali

21 – Vince Wilfork, 2004, DL, Miami – Patriots

Encore un monument des Patriots, un homme de ligne avec une influence qui dépasse les statistiques. Vince Wilfork est l’ancre de la défense des Patriots du début du siècle, 147 kg de talent et de violence, dans le bon sens du terme.

Reconnu au niveau de la franchise, il est un joueur tout a fait honorable pour un choix de la deuxième partie du premier tour.

Mention honorable : Chandler Jones

22 – Justin Jefferson, 2020, WR, LSU – Vikings

Justin Jefferson est le meilleur receveur de NFL, et ce depuis sa draft en 2020. Lui aussi provient de l’incroyable attaque de LSU, et lui aussi à trouver rapidement ses marques en NFL. Auteur de 1 809 yards en 2022, il impressionne autant par ses capacités athlétiques que ses mains.

Comme son ancien coéquipier Ja’Marr Chase, Jefferson est parti pour dominer la ligue pendant encore une très longue période.

Mention honorable : Demaryius Thomas, Anthony Castonzo

23 – Christian Darrisaw, 2021, T, Virginia Tech – Vikings

Lors de la draft, la chute de Christian Darrisaw a ressemblé à l’affaire du siècle pour les Vikings. c’était bien le cas. Si les blessures ne lui ont pas permis d’obtenir les récompenses individuelles qu’il aurait dû recevoir, il est depuis son arrivée un des meilleurs tackles de la ligue.

Si les Vikings ont aussi bien réussi ces dernières années en attaque, c’est parce que le côté aveugle est bien protégé. L’ancien de Virginia Tech n’est qu’au début de sa carrière, mais il a déjà tout d’un futur grand.

Mention honorable : Jordan Addison, Willis McGahee

24 – Aaron Rodgers, 2005, QB, California – Packers

Avant de devenir un personnage controversé, et de passer une décennie sans victoire en playoffs, Aaron Rodgers et avant tout une légende de ce sport. Quadruple MVP, champion NFL, il a succédé avec succès à Brett Favre, devenant même plus grand que lui.

Si la fin de carrière est plus difficile, il ne faut pas oublier celui qui a ébloui par son talent la ligue pendant si longtemps, par son QI football hors du commun et une mécanique de lancer aussi rapide que létale.

Mention honorable : Ed Reed, David DeCastro

25 – Dont’a Hightower, 2012, LB, Alabama – Patriots

Un cadre de la défense des Patriots, dont l’influence dépasse les statistiques, épisode 3. Bill Belichick a toujours su trouver des guerriers au premier tour, et Dont’a Hightower ne fait pas exception.

Triple champion NFL, il a été le relais de ses entraîneurs sur le terrain, le général en chef qui permet à tous d’être meilleur. Dans une faible sélection au 25e choix, il est de loin celui dont l’histoire se souviendra le plus.

Mention honorable : Santonio Holmes

26 – Clay Matthews III, 2009, LB, USC – Packers

La famille Matthews et la NFL, une histoire d’amour. Entre le Papa linebacker et le tonton au Hall of Fame, Clay a grandi dans un environnement NFL depuis toujours. Dès ses premières saisons, il illumine la ligue avec 32,5 sacks sur ses quatre premières années.

Si son niveau redescend peu à peu, il reste un sextuple Pro Bowler qui a gagné le titre avec les Packers. Joueur important de son époque, il a réussi à se faire un nom, au point de dépasser son père. Lorsqu’on parle de Clay Matthews, c’est bien du fils dont il est question.

Mention honorable : Lito Sheppard, Jordan Love

27 – DeAndre Hopkins, 2013, WR, Clemson – Texans

Dans les réceptions les plus mémorables du siècle, il y a le hail mary de DeAndre Hopkins. S’il n’a jamais gagné le titre, et a dû attendre d’avoir 32 ans pour jouer le Super Bowl, Hopkins a toujours été reconnu comme un des meilleurs receveurs de la ligue.

Athlétiquement impressionnant, il était capable de faire des réceptions que personne d’autre ne pouvait faire. Il était en quelque sorte un Justin Jefferson quelques années en avance. Quintuple Pro Bowler, il restera dans les mémoires comme un très grand joueur de cette ligue.

Mention honorable : Roddy White, Devin McCourty, Kenny Clark

28 – Joe Staley, 2007, OT, Central Michigan – 49ers

Choisir un tackle semble toujours un choix moins risqué au premier tour. C’est rarement le cas, mais pour Joe Staley les accomplissements ont dépassé les attentes. pendant plus de 10 ans, il a été le tackle titulaire des 49ers, un pilier stable dans une époque inégale.

S’il n’était pas le plus impressionnant ou le plus dominant, il est l’incarnation de la constance, un joueur durable sur qui on peut compter chaque semaine. Un indispensable dans une position si cruciale.

Mention honorable : Terrell Edmunds

29 – Harrison Smith, 2012, S, Notre Dame – Vikings

Lui aussi est durable et fidèle. Pilier des Vikings, Harrison Smith est un des plus solides safety de la ligue depuis plus de 10 ans. Sextuple pro Bowler et double All Pro, il performe encore à un haut niveau à 35 ans.

S’il a malheureusement loupé sa finale de conférence en 2017, cela n’efface pas une carrière mémorable pour un joueur qui restera à jamais une légende de sa franchise.

Mention honorable : Nick Mangold

30 – T.J. Watt, 2017, EDGE, Wisconsin – Steelers

Les Steelers draft bien, et T.J. Watt en est une nouvelle illustration. Dans les années 2020, il est le linebacker extérieur le plus dominant, avec en prime un titre de défenseur de l’année en 2021.

Véritable machine à sack, il est le visage de la franchise, et perpétue l’héritage familial de son frère. Descendu au 30e choix de la draft, il a depuis largement dépassé les attentes.

Mention honorable :Reggie Wayne

31 – Cameron Heyward, 2011, DT, Ohio State – Steelers

En parlant de T.J. Watt, voici son meilleur ami. Dans la catégorie homme de l’ombre, Cameron Heyward a une belle place. Jamais vraiment une star médiatique, il est un incontestable titulaire dans la redoutable défense des Steelers depuis plus de 10 ans.

Quintuple All Pro et Septuple Pro Bowler, il a l’injuste travail de rendre le jeu plus facile pour les autres. Si les Steelers font les playoffs quasiment tous les ans, Heyward est loin d’y être étranger.

Mention honorable : Travis Frederick

32 – Lamar Jackson, 2018, QB, Louisville – Ravens

Comment faire autrement? Depuis son arrivée dans la ligue, Lamar Jackson a marqué la ligue. Malgré toutes les critiques et les journalistes qui le comparait à un coureur, il a réussi à obtenir deux trophées de MVP.

Triple All Pro et quadruple Pro Bowler, il ne lui manque plus qu’une bague pour devenir une légende. Il a effacé des livres de records Michael Vick, et sa domination ne fait que se confirmer saison après saison. Les Ravens ont échangé des choix pour le prendre au premier tour, et cet échange à changé le destin de la franchise depuis.

Mention honorable : Ryan Ramczyk