Rams – Dolphins (15-23) : Matthew Stafford et les Rams calmés

Los Angeles Rams (4-5) – Miami Dolphins (3-6) : 15-23

Les Dolphins ont su serrer le jeu dans les moments importants, ce que soit en défense ou en attaque, pour battre les Rams lundi soir.

Ils ont encaissé beaucoup plus de yards qu’ils n’en ont gagné ? Oui, mais ils ont empêché les Rams de marquer le moindre touchdown. Pendant ce temps, eux ont converti quelques troisièmes tentatives importantes et marqué sur toutes leurs possessions de la deuxième mi-temps.

Tua Tagovailoa (20/28, 207 yards, 1 TD, 1 int) a été parfois en difficulté. Il a perdu deux ballons. Mais il était bien là pour trouver Tyreek Hill (3 rec, 16 yards, 1 TD) pour le touchdown qui a mis son équipe à l’abri dans le troisième quart (17-6). Et ensuite, la défense a tenu le résultat.

Un festival de maladresse

Si Miami a marqué dès sa première possession grâce au rookie Malik Washington (1 courses, 18 yards, 1 TD), la suite a rapidement été compliquée. Six punts, deux interceptions et deux fumbles en cumulé pour la première mi-temps. Un festival de maladresse assez terrible. Au milieu de cette bouillie, les deux équipes grattent un field goal.

À la pause, le score est de 10-3 en faveur de Miami.

Les Dolphins contrôlent les Rams

Au retour des vestiaires, Los Angeles continue de caler en terrain adverse. Ils manquent un field goal. C’est là que Tagovailoa trouve Jonnu Smith  (3 rec, 45 yards)pour 10 yards, puis 33 longueurs. Et c’est Tyreek Hill qui trouve la end zone sur une réception d’un petit yard (17-6).

Malgré Puka Nacua (9 rec, 98 yards) et Cooper Kupp (7 rec, 80 yards), les Rams n’arrivent pas à revenir. Matthew Stafford (32/46, 293 yards, 1 int) encaisse des sacks sur des troisièmes tentatives. Ils se contentent encore et toujours de field goals. Et Miami réplique également au pied à chaque fois. Le score évolue donc peu : 17-9, 20-9, 20-12, 23-12, 23-15…

Une fois l’onside kick recouvert, les Rams n’avaient plus le temps. Et de toute façon, ils ne semblaient pas avoir l’énergie ou la créativité.

Les playoffs semblent loin pour ces deux équipes.