Petit déjeuner léger en ce dimanche ! Mais quelques infos intéressantes tout de même.
Bruits de couloir
– Ryan Tannehill (QB) a choisi de ne pas se faire opérer après une blessure aux ligaments du genou, qui comportait notamment une déchirure partielle du ligament croisé antérieur. Son articulation a retrouvé de la force, et Tannehill est sur le terrain pour les entrainements d’intersaison.
« Il a l’air normal pour moi », a assuré Adam Gase à la presse vendredi. « Il a l’air comme l’an dernier. La différence, c’est qu’il connait mieux l’attaque à ce moment de la préparation comparé à l’an dernier. Il bouge bien. »
Tannehill est-il a 100% ?
« Je ne connais pas tous les pourcentages. Tout ce que je sais c’est qu’il m’a l’air bien. »
– Brandon Marshall (WR, Giants) en a encore pour deux ans en NFL. C’est ce qu’il a expliqué samedi lors d’un salon du fitness qui avait lieu au Metlife Stadium.
« Deux ans de plus, gagner mon Super Bowl, m’amuser un peu, et puis j’irai changer le monde dans le domaine de la santé mentale. »
Marshall souffre lui-même d’un trouble de la personnalité borderline, dont il n’a pas peur de parler. C’est d’ailleurs pour parler de son expérience qu’il était présent sur le salon.
– Les Bills continuent leur recherche d’un manager général. Samedi, ils ont rencontré Trey Brown, le directeur du recrutement universitaire des Philadelphia Eagles.
– Haloti Ngata (DT, Lions) a choisi de continuer en NFL, mais il n’a pas pris la décision seul. Selon le Detroit News, le defensive tackle a consulté un neurologue avant de prendre sa décision. Il a passé une batterie de tests et de scans pour s’assurer du bon état de son cerveau.
« Mon cerveau va bien. C’est ce qu’ils ont dit. Le cerveau va bien, continue à mettre des coups », a assuré Ngata à nos confrères.
– Jamaal Charles (RB, Broncos) a fini par être coupé par les Chiefs, mais il était prêt à accepter une baisse de salaire. C’est ce qu’il a assuré samedi au Denver Post.
« Je pense que j’aurais accepté s’ils étaient venus me voir pour me parler d’une baisse de salaire, parce que je pense que j’aurais accepté. Parce que je crois que je leur était reconnaissant de m’avoir gardé dans l’équipe (malgré les blessures, NDLR). Mais quand j’ai reçu l’appel, c’était juste, OK mec. Si ça peut arriver à Peyton Manning, ça peut arriver à n’importe qui. »