GOAT, HoF, MVP et autres sigles
Re: GOAT, HoF, MVP et autres sigles
c'était pas par poste ?
- killerdescore
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Re: GOAT, HoF, MVP et autres sigles
Si mais je pense que chacun fait comme il veut au final
Personnellement je vais commencer par les LT avec 10 noms ,ça devrait déjà être pas mal
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Re: GOAT, HoF, MVP et autres sigles
perso je serais + fan qu'on définisse un poste par semaine et de faire un top chaque semaine
- killerdescore
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Re: GOAT, HoF, MVP et autres sigles
pourquoi pas mais faut ouvrir un nouveau sujet ,ça être le bordel sinon
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Re: GOAT, HoF, MVP et autres sigles
D'accord avec Tom, un poste par semaine, ça laisse le temps de faire un classement et de débattre ensuite 

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Re: GOAT, HoF, MVP et autres sigles
Et de faire des recherches sur les dites positions, pcq combien de RT actuels peut-on nommer sans internet... ?
Re: GOAT, HoF, MVP et autres sigles
En attendant que vous vous décidiez et histoire de surfer sur l'actualité : Belichick, GOAT ou pas ?
L'idée n'est pas de taper gratuitement sur les Pats ou lui mais ces derniers temps, j'ai pensé à plusieurs trucs qui me font sérieusement m'interroger.
1) C'est soi-disant le plus grand esprit défensif qu'on ait vu mais c'est seulement une défense historique ("que" top 50 selon moi) en dix saisons de collaboration avec le GOAT des défenseurs pour beaucoup (Giants 1990), une autre historique (toujours "que" top 50) en sept-huit ans avec un effectif fourni (Patriots 2003) et une dernière de grande qualité qu'un calendrier lamentable risque d'élever au rang d'historique, statistiquement du moins (Patriots 2019).
2) C'est le plus grand gagneur au poste d'entraîneur mais son bilan n'est pas fameux sans Brady :
Browns 1991, 6-10 (l'équipe sort d'une saison à 3-13)
Browns 1992, 7-9
Browns 1993, 7-9
Browns 1994, 11-5, victoire en Wild Card (la dernière en date de la franchise en playoffs) contre les Patriots (ça ne s'invente pas), rouste en Divisional
Browns 1995, 5-11
Patriots 2000, 5-11 (l'équipe sort d'une saison à 8-8)
Patriots 2008, 11-5 (l'équipe sort d'une saison à 16-0 et joue un calendrier en mousse)
Soit cinq saisons négatives sur les sept disputées pour un bilan de 52-60, une seule participation aux playoffs pour un bilan de 1-1.
3) Quand ça gagne, c'est à l'arrache. La seule victoire au Super Bowl par plus d'une possession, c'est l'année où le vainqueur bat le record du plus petit total de points marqués. Les excuses du salary cap et de la free agency me paraissent caduques car on a vu des fessées depuis 1994. Et puis, quel poids donner à tous ces titres compte tenu des scandales et des innombrables coups de sifflets providentiels ?
4) L'absence de coaching tree pose la question de son poids dans les résultats des Pats. Sans Brady et l'organisation mise en place par Kraft, il ne fait rien fait à Cleveland par exemple. Le fait que ses assistants réussissent avec lui signifie soit que l'environnement le permet, soit que Belichick est un tel génie qu'il ne peut pas transmettre son savoir. Pourquoi pas dans le deuxième cas, mais le fait que le schéma se répète encore et encore interpelle. J'ai du mal à croire qu'il ne s'entoure que d'incompétents.
Loin de moi l'idée de faire passer Belichick pour un tocard hein, son CV est trop fourni pour ça. C'est juste que je ne suis pas convaincu qu'il soit si intouchable ; d'où ces éléments offrant de quoi méditer...
L'idée n'est pas de taper gratuitement sur les Pats ou lui mais ces derniers temps, j'ai pensé à plusieurs trucs qui me font sérieusement m'interroger.
1) C'est soi-disant le plus grand esprit défensif qu'on ait vu mais c'est seulement une défense historique ("que" top 50 selon moi) en dix saisons de collaboration avec le GOAT des défenseurs pour beaucoup (Giants 1990), une autre historique (toujours "que" top 50) en sept-huit ans avec un effectif fourni (Patriots 2003) et une dernière de grande qualité qu'un calendrier lamentable risque d'élever au rang d'historique, statistiquement du moins (Patriots 2019).
2) C'est le plus grand gagneur au poste d'entraîneur mais son bilan n'est pas fameux sans Brady :
Browns 1991, 6-10 (l'équipe sort d'une saison à 3-13)
Browns 1992, 7-9
Browns 1993, 7-9
Browns 1994, 11-5, victoire en Wild Card (la dernière en date de la franchise en playoffs) contre les Patriots (ça ne s'invente pas), rouste en Divisional
Browns 1995, 5-11
Patriots 2000, 5-11 (l'équipe sort d'une saison à 8-8)
Patriots 2008, 11-5 (l'équipe sort d'une saison à 16-0 et joue un calendrier en mousse)
Soit cinq saisons négatives sur les sept disputées pour un bilan de 52-60, une seule participation aux playoffs pour un bilan de 1-1.
3) Quand ça gagne, c'est à l'arrache. La seule victoire au Super Bowl par plus d'une possession, c'est l'année où le vainqueur bat le record du plus petit total de points marqués. Les excuses du salary cap et de la free agency me paraissent caduques car on a vu des fessées depuis 1994. Et puis, quel poids donner à tous ces titres compte tenu des scandales et des innombrables coups de sifflets providentiels ?
4) L'absence de coaching tree pose la question de son poids dans les résultats des Pats. Sans Brady et l'organisation mise en place par Kraft, il ne fait rien fait à Cleveland par exemple. Le fait que ses assistants réussissent avec lui signifie soit que l'environnement le permet, soit que Belichick est un tel génie qu'il ne peut pas transmettre son savoir. Pourquoi pas dans le deuxième cas, mais le fait que le schéma se répète encore et encore interpelle. J'ai du mal à croire qu'il ne s'entoure que d'incompétents.
Loin de moi l'idée de faire passer Belichick pour un tocard hein, son CV est trop fourni pour ça. C'est juste que je ne suis pas convaincu qu'il soit si intouchable ; d'où ces éléments offrant de quoi méditer...

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Re: GOAT, HoF, MVP et autres sigles
2) 2000 n'est que sa première saison, 5-11, 8-8, j'ai pas regardé dans le détails mais parfois il suffit du peu pour avoir ces différences de bilans, de plus il y-a une saison d'adaptation à avoir. 2008 arrive juste après le spygate et c'est un QB dans un nouvel environnement qui est en place. De plus l'échec de la saison précédente doit avoir marqué.Tili a écrit : ↑mer. 11 déc. 2019 00:302) C'est le plus grand gagneur au poste d'entraîneur mais son bilan n'est pas fameux sans Brady :
Browns 1991, 6-10 (l'équipe sort d'une saison à 3-13)
Browns 1992, 7-9
Browns 1993, 7-9
Browns 1994, 11-5, victoire en Wild Card (la dernière en date de la franchise en playoffs) contre les Patriots (ça ne s'invente pas), rouste en Divisional
Browns 1995, 5-11
Patriots 2000, 5-11 (l'équipe sort d'une saison à 8-8)
Patriots 2008, 11-5 (l'équipe sort d'une saison à 16-0 et joue un calendrier en mousse)
Soit cinq saisons négatives sur les sept disputées pour un bilan de 52-60, une seule participation aux playoffs pour un bilan de 1-1.
3) Quand ça gagne, c'est à l'arrache. La seule victoire au Super Bowl par plus d'une possession, c'est l'année où le vainqueur bat le record du plus petit total de points marqués. Les excuses du salary cap et de la free agency me paraissent caduques car on a vu des fessées depuis 1994. Et puis, quel poids donner à tous ces titres compte tenu des scandales et des innombrables coups de sifflets providentiels ?
3) Ils pourraient être à 0 victoire au SB ça serait pareil au final. Et personne n'en ferait des tonnes avec eux alors qu'ils auraient le même niveau de jeu.

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Re: GOAT, HoF, MVP et autres sigles
J'ai du mal à te suivre là...Tili a écrit : ↑mer. 11 déc. 2019 00:30[...]
3) Quand ça gagne, c'est à l'arrache. La seule victoire au Super Bowl par plus d'une possession, c'est l'année où le vainqueur bat le record du plus petit total de points marqués. Les excuses du salary cap et de la free agency me paraissent caduques car on a vu des fessées depuis 1994. Et puis, quel poids donner à tous ces titres compte tenu des scandales et des innombrables coups de sifflets providentiels ?
Au final... il gagne !
C'est le plus important non ? Et d'autant plus sur un Super Bowl.
Alors oui, y'a la manière de gagner qui peut marquer. Maintenant est ce que ça doit forcément être flamboyant...