Pour Jim Schwartz, Young et Fairley salissent l’image des Lions

Ce n’est pas parce qu’ils ont repris l’entrainement ce mardi que Titus Young et Nick Fairley sont totalement pardonnés. « Je pense que ce qu’on a ici c’est un exemple de...

Ce n’est pas parce qu’ils ont repris l’entrainement ce mardi que Titus Young et Nick Fairley sont totalement pardonnés.

« Je pense que ce qu’on a ici c’est un exemple de quelques gars qui salissent la réputation de beaucoup d’autres, explique Jim Schwartz au Detroit Free Press. Quelques gars n’ont pas appris et c’est un soucis mais ils sont toujours jeunes, il y a encore beaucoup devant eux et on espère qu’ils pourront… mettre ça derrière eux. »

Young s’est battu avec un coéquipier. Et il a encore du boulot pour reconquérir son coach.

« Il a fait un excellent entrainement aujourd’hui, confirme Schwartz au sujet de son receveur. Ça n’efface pas les incidents qui ont eu lieu et ça ne change pas le processus qu’on va avoir pour lui pour qu’il se tienne bien, pas seulement avec l’équipe mais avec ses coéquipiers. »

Entre la bagarre de Young et la seconde arrestation de Fairley en quelques semaines, les Lions sont en train de devenir les nouveaux enfants terribles de la ligue. Un label que refuse pourtant Nate Burleson.

« On ne veut pas être une de ces équipes qualifiées de Bad Boys, demande le receveur au site officiel de l’équipe. Les Bad Boys sont quelque chose d’autre à Detroit. »

En effet, les Bad Boys jouaient au basket. Et ils ont remporté deux titres.

Tags →  
Partagez cet article sur : Twitter Facebook
Afficher les commentaires